Manuscrit de Las Huelgas (XIIIe siècle)
Chant soufi
Yaqine, Alia Sellami (2023)
Iconostase, Laurence Brisset (2023)

Un voyage intime au cœur du désert, symbolique d’une solitude choisie, ou désert minéral.  Également véritable hommage à la spiritualité féminine, il voyage à travers les âges et les cultures, porté par le chant médiéval du XIV^e siècle du Monastère de la Huelgas, par le chant soufi et par une création de la chanteuse et compositrice Alia Sellami.

Évocateur du retrait, de l’épreuve mais aussi lieu de la révélation, le désert relie les trois religions monothéistes. Le désert de Thèbes fut le refuge des premiers chrétiens, depuis on nomme Thébaïde tout lieu, même symbolique, où l’on s’isole pour mener une vie d’ascèse et de prières.

Au Moyen Âge, en Occident, il désigne l’ermitage, la forêt, les îles, les monastères. Métaphore d’une vie solitaire où l’on vient contempler les « réalités invisibles », on y prie, on y chante.

Chez les Soufis, la Khalwa qualifie aussi bien l’action d’être seul, que le lieu de retraite spirituelle comme la nature, le désert, la grotte, la cellule.

À travers ces musiques d’hier et d’aujourd’hui, les voix des chanteuses de De Caelis nous invitent à redécouvrir le désert comme un lieu de vie, universel, propice à la méditation et à la réflexion.

1 CD – 16 titres
Interprète : Ensemble De Caelis
Durée : 55’07
Date de sortie : Mai 2024
Enregistrement et mixage par : Julien Tailler

à l’Abbaye de la Lucerne (50)

© Bayard Musique

L’ensemble De Caelis rend hommage à deux grandes figures féminines de l’abbaye de Fontevraud : Aliénor de Bretagne et Aliénor d’Aquitaine.

Dans cet album enregistré à l’abbaye royale de Fontevraud, l’ensemble De Caelis mélange musique ancienne et création contemporaine entre sacré et profane en rendant hommage à Aliénor de Bretagne et Aliénor d’Aquitaine.

Les pièces polyphoniques et monodiques du Graduel d’Aliénor de Bretagne précèdent la Chanson de Guillaume d’Aquitaine, la pièce du compositeur Philippe Hersant écrite en 2015 et inspirée d’un poème de Guillaume IX, grand-père d’Aliénor d’Aquitaine et premier des troubadours. Deux chansons de troubadours sont également présentes dans cet album.

Abbesse de Fontevraud, Aliénor de Bretagne y lègue à sa mort en 1342 le graduel portant ses armoiries, qui demeure une source exceptionnelle pour l’étude de la pratique du chant grégorien aux XIIIe et XIVe siècles.

1 CD – 14 titres
Interprète : Ensemble De Caelis
Durée : 68’09
Date de sortie : Avril 2017
EAN CD : 3560530849724

Critiques

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Réécoutez l’émission Les femmes, le pouvoir et la musique sur France Culture

Du secret au sacré, une alliance entre Orient et Occident, entre hier et aujourd’hui.

Rencontre entre le ciel et la terre, entre une femme singulière, mystique, scientifique, musicienne, vivant en Rhénanie au début de la première croisade, et un compositeur libanais contemporain. Où la musique et les poèmes de l’abbesse du XIIe siècle, célèbre pour ses visions extatiques, s’élance jusqu’à se fondre dans celle de Moultaka vers une progressive descente en enfer. Entre archaïsme et modernité, grégorien et modes anciens, l’univers sonore, par les jeux d’échos et de résonances, revêt une étrange modernité et questionne notre monde contemporain, sa noirceur, sa violence, sa fragilité.

Prise de son : Benoît Gaspard
Enregistrement réalisé à l’Abbaye aux Dames Cité Musique de Saintes du 2 au 6 septembre 2014

1 CD – 13 titres
Interprète : Ensemble De Caelis
Durée : 55’10
Date de sortie : Mars 2015
EAN CD :

Critiques

Classiquenews
« On ne saurait trop recommander l’écoute de ce disque superlatif… Par sa profondeur, le dramatisme ciselé de son programme, l’arc tendu  entre les deux  écritures musicales, la qualité des chanteuses qui le portent, voici indiscutablement le meilleur jamais enregistré par les chanteuses de De Caelis. Un nouveau jalon né de leur rencontre avec Zad Moultaka et qui produit une réalisation inoubliable. D’où notre CLIC de classiquenews d’avril  2015.»
Alexandre Pham, 28/03/2015
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Musicologie.org
« Zad Moultaka a donc écrit la première, les trois dernières et coécrit les trois avant-dernières pièces, tout en respectant complètement l’atmosphère originelle. Un peu plus de huit siècles auparavant, huit siècles durant lequel le silence éternel annoncé par Pascal s’est amplifié et étendu. Avec une bande son ténue, comme le son fantôme de l’apparition du monde. Et une ébauche de polyphonie réverbérée par les nuages au dixième chant. Qui devient gangue vocale aux suivants, le temps que les distances s’abolissent et que les voix des anges nous parviennent dans leurs invocations antiques.
Où es-tu, berger des âmes ? L’ensemble De Caelis, dirigé par Laurence Brisset, prête pleinement ses cinq voix de femmes, ensemble ou en solo, à cette monodie lancinante, lointaine ou proche, ancienne ou moderne, rassurée ou inquiétante. »
Alain Lambert, 26/03/2015

Vidéo Classiquenews pour la sortie du disque

Vidéo sur la résidence de création à Saintes

Manuscrit de Chantilly, XIVe siècle

Un manuscrit énigmatique quant à sa provenance et sa destination, celant en son sein des énigmes musicales et poétiques, parfaite illustration d’un art dit Subtilior…
Ce terme fut adopté par la musicologie moderne, pour désigner le courant musical qui succéda à l’Ars Nova dans les dernières décennies du XIVe siècle. le Codex Chantilly, MS.564 de la bibliothèque du château de Chantilly, constitue l’une des plus riches collections de musique française de la fin du Moyen Age. Parfaitement conservé, il témoigne de l’imagination et de la virtuosité des musiciens qui explorèrent les limites de la notation musicale récemment établie. Les « subtilités » y concernent à la fois la musique -rythme et polyphonie- et le texte, la façon d’user du langage, le sens, la forme.  Les compositeurs parsemèrent habilement leurs oeuvres de rébus, d’acrostiches, de jeux de mots, de citations, d’allusions mythologiques, politiques ou amoureuses. Ils y rivalisèrent d’intelligence, de culture mais aussi et surtout de sensibilité.
La remarquable cohérence du répertoire permet de penser que l’intention du copiste était de créer une anthologie de la musique française du XIVème siècle – de Machaut à Cordier, de l’ars nova à l’ars subtilior, des années 1350 au début du XVème siècle. Le manuscrit présente une collection volontairement rétrospective de la musique du XIVème siècle, bien que l’ensemble du répertoire soit plutôt tardif. Les œuvres sont donc issues majoritairement de l’ars subtilior.

Direction et chant : Laurence Brisset,
Chant : Florence Limon, Estelle Nadau, Léna Orye, Caroline Tarrit
Harpe : Angélique Mauillon
Organetto : Guillermo Pérez
Prise de son, montage et direction artistique : Jérôme Lejeune
Enregistrement réalisé à l’Eglise Notre-Dame de Centeilles à Siran

ÆON 2010, distribué par Harmonia-Mundi
1 CD – 16 titres
Interprète : Ensemble De Caelis
Durée :
Date de sortie : 2010
EAN CD :

Jubilatoire, virtuose, éclatante de lumière, issue de l’activité créatrice de la Chapelle pontificale d’Avignon, la Messe de Tournaiest sans doute la plus ancienne messe polyphonique conservée.

Dédiée à la Vierge Marie, elle a l’ampleur et la majesté des grandes architectures gothiques. Il s’agit d’une compilation et non d’une composition unitaire, les pièces sont anonymes et proviennent de lieux et d’époques différentes. Elles furent assemblées et apparemment copiées par un seul scribe. A la fois archaïque et novatrice, cette messe témoigne des bouleversements musicaux engendrés par le passe de l’Ars Antiqua à l’Ars Nova.

Avec le soutien de l’aide de la Communauté française (Direction générale de la Culture, Service de la Musique).

Prise de son, montage et direction artistique : Jérôme Lejeune
Enregistrement réalisé à l’Église Saint-Apollinaire à Bolland, Belgique

1 CD – 15 titres
Interprète : Ensemble De Caelis
Durée : 51′
Date de sortie : 2008
EAN CD :

Critiques

Classica Répertoire Juin 2008
« Dans le plain-chant comme dans la polyphonie, l’ensemble De Caelis illustre deux mots : luminosité, clarté. Sonorité emplie de lumière, lisibilité au pixel près du contrepoint, ductilité et plénitude, suavité contredisent la réputation d’austérité d’un tel répertoire. Une particularité de l’ensemble à souligner, cette faculté d’insuffler dans les lignes contrapuntiques une pulsation irrépressible »
Sophie Roughol

Res Musica, juin 2008
« Œuvre essentielle, sa beauté intemporelle, bouleversante est profondément contemporaine dans son expressivité comme dans sa composition. De Caelis nous fait percevoir la sensualité mélancolique des ces chants, faisant vibrer l’architecture polyphonique de cette messe, Ces voix donnent à la poésie de ces textes sacrés et profanes mêlés, les couleurs des vitraux, reflétant les milles facettes d’une spiritualité se cherchant face au silence infini des sphères célestes. »
Monique Lepelletier

Diapason, juillet 2008 4 diapasons
« Le fin travail de ce groupe féru de contrepoint médiéval s’ouvre une remarquable version , sans doute la meilleure disponible, d’un des plus impressionnants motets de Philippe de Vitry. Des timbre, des intentions musicales et des couleurs qui assurent de vrais moments de grâce. De Caelis confirme son rang au sommet… »
David Fiala

Musique française des XIIIe et XIVe siècle

Elles sont cinq, cinq femmes à chanter l’amour courtois du XIIIe siècle. Elles le chantent a capella, c’est-à-dire sans accompagnement. La pureté de leur voix n’a d’égale que cet amour impossible du troubadour envers sa belle totalement idéalisée. Une musique toute en délicatesse, mais ô combien sophistiquée pour cette époque.

Avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication – Direction Régionale Normandie, de la Région Basse-Normandie et du Département de l’Orne.

Prise de son, montage et direction artistique : Jean-Marc Laisné / AMATI
Enregistrement réalisé à la Chapelle du Collège Saint Thomas d’Aquin

1 CD – 33 titres
Interprète : Ensemble De Caelis
Durée : 65’56
Date de sortie : Mars 2006
EAN CD : 3133580130519

Critiques

Diapason, 4 diapasons
« …Introduit par la pertinente réflexion musicologique de Laurence Brisset, ce voyage mène de la tradition du conduit aux nouveaux principes de composition…Vocalité et aisance rhétorique, vertus particulièrement sensibles…La leçon de chant ne cesse d’être heureusement formulée, dans un climat d’euphonie pour le moins gratifiant à l’oreille. Saluons en dernier une excellent approche des parlers d’oïl.
Roger Tellart, 11/2006

Le Monde de la Musique, 4 étoiles
« Généreux échantillon de la phase « classique » du motet médiéval en puisant à la source majeure des années 1280, le manuscrit de Montpellier »
Marc Desmet, 10/2006

Ouest-France
« Des mots d’amour à l’abbaye …Elles s’expriment à travers les textes, oscillant joliment dans une langue fleurie aux accents inhabituels et poétiques. On doit souligner l’exceptionnelle intelligibilité des cinq voix en présence…Les voix semblant prêtes à toute prouesse…, entre voix discursives et volutes colorées… ».
Sylvie Huguenin, octobre 2006

Cercle, révolution

Ce programme est consacré à la polyphonie anglaise de la première moitié du XVe siècle. Voici un ensemble avec des voix superbes qui, au fil de ses enregistrements, s’installe parmi les meilleurs spécialistes en ce domaine.

Avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication – Direction Régionale des Affaires Culturelles de Basse-Normandie, de la Région Basse-Normandie, du Département de l’Orne et de l’ADAMI.

Prise de son, montage et direction artistique : Jean-Marc Laisné / AMATI
Enregistrement réalisé à la Chapelle de la Providence de Sées (61) en janvier 2004.

1 CD – 19 titres
Interprète : Ensemble De Caelis
Durée : 62’08
Date de sortie : Septembre 2004
EAN CD : 3133580130212

Critiques

Classica Répertoire, 9
« Les voix semblent naturellement belles et claires… Chacune est identifiable mais l’ensemble garde une homogénéité remarquable. La mise en place est sans défaut. Il y a surtout la marque de l’ensemble, ce sens du rythme qui donne un relief saisissant et conduit l’auditeur à vivre la musique autant en esprit qu’avec le corps. »
François Camper, 11/2004

Diapason, 5 diapasons
« À l’évidence, les dames de De Cælis entretiennent une liaison amoureuse avec ce répertoire où se met en place un nouveau monde sonore… À la fois ductile et incarné, leur chant gracieux investit le sanctuaire, mais aussi le siècle… Une suavité acoustique que les oreilles les plus austères trouveront délectable… »
Roger Tellart, 12/2004

O Felices Lacrimæ met en lumière deux figures emblématiques de l’Angleterre médiévale : saint Thomas Becket et saint Edmund.

L’ensemble de Cælis explore le répertoire vocal du XIIème, XIIIème et XIVème siècles, avec une prédilection pour les sources de l’Ouest et du Nord de l’Europe. Dans un souci de recherche sur la voix, l’ornementation et l’improvisation, il multiplie les échanges avec des musicologues, historiens et linguistes et axe son travail sur l’étude des manuscrits. Le nom de l’ensemble : DE CÆLIS ou À PROPOS DES CIEUX fait allusion au traité d’Aristote DE CÆLO commenté durant tout le Moyen-Âge, il se réfère également aux cieux, thème mythique de toute les religions et l’air, donateur de vie et de sons. L’enregistrement présente de magnifiques pièces votives anglaises du XIVème siècle autour de Saint Thomas Becket, Edmundus et Marie, lamentations et méditations d’une grande virtuosité.

Avec le soutien de la Région Basse-Normandie, du Département de l’Orne et de la DRAC Basse-Normandie.

Studio SM 2002, D 2930
Prise de son, montage et direction artistique : Jean-Marc Laisné / AMATI
Enregistrement réalisé à l’Abbaye de Fontmorigny (18) en octobre 2001 

1 CD – 22 titres
Interprète : Ensemble De Caelis
Durée : 65’58
Date de sortie : Avril 2002
EAN CD : 3133580129308

Critiques

Le Monde de la Musique, 5 étoiles
« De Cælis esthétise le chant, pratique le fondu des voix, vise l’aigu et le céleste dans des pièces impressionnantes de virtuosité. En insistant sur les courbes et les sonorités, en jouant de leur facilité vocale, les chanteuses créent un éclat irréel… »
Marc Desmet, 10/2002

Diapason, 5 diapasons
« L’ensemble De Cælis impose un son délié et une musicalité radieuse qu’il ne semble partager avec personne. La séduction de la ligne cantabile relaie, chez lui, l’élan d’une spiritualité sans faille, dans un deuxième album, tout aussi attachant que le premier. Exigence musicale et souci perfectionniste caractérisent cet ensemble, un groupe à suivre avec beaucoup d’attention… »
Roger Tellart, 07/2002

Répertoire, 8
« Le chant de De Cælis délivre avec générosité des mélodies très amples, marquant tout à la fois leur caractère solennel et grave. Le souffle fragile de la voix supérieure humanise cette musique et lui dessine des contours poignants allant même jusqu’à l’extase. La claire diction du mot est la grande qualité de cet ensemble. »
Sylvain Gasser, 10/2002

Répertoire, la sélection des meilleures prises de son
« La fibre vocale, exempte de la plus infime distorsion, se déploie dans un champ à l’acoustique comme happée vers le haut, dans une aura surnaturelle. Le velouté comme le placement des solistes atteignent à une perfection rarissime avec ce type de formation. »
Pascal Brissaud, 11/2002

23 chansons d’inspiration religieuse et amoureuse pour découvrir la vitalité de l’anglo-normand, langue de prestige et de culture du XIIIeme siècle.

« L’anglo-normand, variété de français parlée et écrite en Angleterre, y fut imposé par Guillaume de Normandie qui conquit l’île en 1066. Il y resta en vigueur jusqu’à la fin du XIVème siècle, et concurrença l’anglais, sans toutefois réussir à le supplanter, mais en influençant fortement et durablement son lexique. Marqué par les dialectes du nord-ouest de la France, l’anglo-normand fut parlé par l’élite intellectuelle et sociale d’origine française mais aussi anglais qui l’avait adopté comme langue de prestige et de culture. De nombreuses œuvres littéraires de grande qualité témoignent de sa vitalité, comme ces élégantes chansons du XIIIème siècle, d’inspiration religieuse et amoureuse. »
Catherine Bougy, (Maître de conférences en histoire de la langue française et dialectologie normande à l’Université de Caen)

Avec le soutien de l’ADAMI, la SCPP, la Caisse des Dépôts et Consignations et le Département de l’Orne.

Studio SM 2000, D 2851
Prise de son et direction artistique : Jean-Marc Laisné / AMATI
Enregistrement réalisé à l’Eglise de Sérigny (61) en 2000

1 CD – 23 titres
Interprète : Ensemble De Caelis
Durée : 57’08
Date de sortie : Septembre 2000
EAN CD : 3133580128547

Critiques

Télérama, ffff
« Il y a beaucoup de chair, de chaleur, de féminité et de sensualité dans l’ensemble de Laurence Brisset. Un vrai patrimoine fort touchant qui fait partie de notre mémoire oubliée. »
Xavier Lacavalerie, 10/2000 (n°2650)

Le Monde de la Musique, Choc
« Tout en souplesse vocale, en douceur de lignes, cet ensemble (…) extrait le charme et la délicatesse qui émanent des motets et conduits.(…) la clarté et la richesse des timbres permettent de goûter des merveilles d’écriture(…) »
Marc Desmet, 02/2001

Classica, recommandé par Classica
« Comme l’on découvre une perle dans un écrin, nous avons frissonné à l’écoute de ce disque. Autant de pureté et de délicatesse réunies en un disque mérite que l’on s’y attache… De Cælis rejoint par sa lumière les plus chamarrés des vitraux gothiques. De Cælis fixe ici son identité. »
Stéphan Perreau, 01/2001

Diapason, 5 diapasons (n°475)
« …visions aux couleurs irisées de vitrail. Elles égalent en raffinement les Américaines d’Anonymous IV…. »
Roger Tellart, 11/2000

Goldberg Magazine, 5 étoiles
« L’ensemble De Cælis produit un son riche et domine pleinement le style complexe des œuvres. Le son de l’ensemble français est somptueux, les défis techniques sont comme des jeux d’enfants pour elles… »
Ivan Moody, 05/2001